Lettre depuis le Vestibule — Où suis-je libre ?
La Maison de la Muse, naissance d’un monde
Il y a un lieu qui est né doucement,
Un espace entre le rêve et la réalité, entre le silence et la création.
Un lieu que j’appelle La Maison de La Muse.
Je t’invite aujourd’hui à en franchir le seuil — ce Vestibule — un sas d’âme, un espace suspendu où l’on vient déposer ce qui pèse, accueillir ce qui appelle, et s’immerger dans le murmure d’une possible renaissance.
Avant de te guider plus loin dans cette maison qui ouvre ses portes, avant de t’ouvrir les pièces secrètes où la création danse et où les âmes se rencontrent,
Prends une pause ici. Respire.
Ceci est la première lettre que j’y écris. Une lettre vivante, une lettre de retour.
La première clé, le premier souffle offert pour commencer ce voyage intérieur — un voyage pour se retrouver, se réinventer, et surtout, vibrer pleinement.
Bienvenue dans ce passage.
Love, Laure
Je n’avais pas prévu de publier cela ici. Mais je sens que ce texte est un seuil.
Il est la voix d’une femme qui revient à elle pour la centième fois, qui reconnaît ses enfermements pour mieux les laisser partir.
Et peut être, est-ce ça la Maison de La Muse: un espace où l’on peut se dire vrai avant de créer à nouveau.
“Il y a des femmes qui voyagent dans le monde et d’autres qui voyagent vers elles-mêmes. Parfois, ce sont les mêmes.”
Au fond, ce n’est jamais une ville, un pays ou une personne qu’on cherche à retrouver.
C’est une version de soi que l’on espère recroiser.
Il y a des lieux où l’on se sent plus libre, mais pas toujours plus vraie.
Et même parfois, ce n’est pas le lien qui emprisonne… mais la manière dont on s’y oublie.
On croit revenir pour quelqu’un d’autre. On croit partir pour retrouver. Mais en réalité, ce qu’on cherche à rejoindre, c’est une vibration oubliée, un feu intérieur qu’on croyait éteint.
Alors on se questionne…
Et si je ne revenais pas pour reconstruire… mais pour me redéployer ?
Pour choisir, à chaque instant, ma souveraineté au lieu de ma survie.
La vraie maison
c’est celle où je m’autorise. Celle où je vibre, même si je suis seule à danser. Celle où mon cœur bat assez fort pour que tout le reste suive… ou s’éloigne.
Peut-être est-ce cela, être M U S E :
marcher en éclaireuse de ses propres limites, et les traverser avec tendresse, jusqu’à redevenir espace.
Alors aujourd’hui, ce seuil est ouvert.
Je t’invite à le franchir à ton rythme.
À venir déposer ce qui te retient,
À écouter la voix qui sommeille en toi,
À retrouver ce feu qui ne demande qu’à s’épanouir.
La Maison de La Muse n’est pas un lieu, mais un mouvement.
Un mouvement de retour à soi, de courage tendre,
d’exploration douce et profonde.
Et toi, quelle muse es-tu prête à devenir ?
Je t’attends dans le Jardin Intuitif de l’Écriture — ce premier refuge, cette première danse.
Un espace collectif pour respirer, écrire, vibrer, ensemble. Aucun prérequis, seulement l’envie d’écrire et de profiter d’une communauté.
🗓️ Première session : jeudi 19 juin à 18h30
📍 En ligne
🎟️ Participation par donation libre (montant à choix)
💌 Pour t'inscrire, réponds simplement à cette lettre ou écris-moi en privé.
Tu peux consulter les détails du Jardin de l’Écriture:
